22 février 2017
Procida
Les églises sont des citrons
Éclatantes dans le ciel azur
Et les scooters comme des fusées
Le soleil brûle le sable noir,
Au point qu'entre quelques grains sombres, d'autres sont dorés
Des promeneurs sur la Corricella
Nargués par des chats amaigris
A l'heure où les procidans aigris
Chevauchent leurs bateaux de bois
Des pierres à l'allure d'éponges miment les galets
S'étendent sur le sable noir
Et le soleil brûle le sable noir
Et le soleil brûle la mer sans fonds
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