30 janvier 2014
Les dépressions évidentes
Les dépressions évidentes
Las même endormi,
Suis-je une bougie éteinte
Au siècle passé ?
De vos constantes étreintes
J'éclairais votre vie.
L'avantage sûrement, de mes charmes désuets.
Un suroît timide
Soupirant sur une mèche noyée
Ne rallume en rien
Une flamme perdue.
Ni chandelle, ni cierge, ni flambeau
Le vent hésite pourtant sur ce feu mort.
Ni chandelle rayonnante,
Ni cierge allumé,
Ni flambeau étincelant
D'un souffle timoré
Nous ne pouvons qu'espérer
Nos dépressions évidentes, nos inquiétantes étrangetés.
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